Marybeth a réussi à échapper au boucher du bayou, Victor Crowley. Mais elle est déterminée à rapatrier les corps de son frère et de son père. Elle réussit à convaincre le révérend Zombie de l'aider dans sa quête. Ce dernier recrute alors une poignée d'hommes avec la promesse d'une récompense. Certains d'entre eux doutent encore de l'existence de Crowley. Arrivés sur les lieux du carnage, ils vont vite changer d'avis...
Jason Vorhees, le célébrissime tueur en série au masque de hockey, a finalement été capturé. Ne pouvant être détruit, celui-ci se retrouve cryogénisé, comme la charmante Rowan qu'il tentait de tuer.
Près de cinq siècles plus tard, la Terre est devenue inhabitable suite aux méfaits de la pollution. Venus de la planète qui a servi d'asile à la race humaine, de jeunes archéologues partent en voyage sur la Terre pour étudier les causes du cataclysme écologique.
Au cours de leurs recherches, ils découvrent un caisson réfrigéré contenant ce qu'ils pensent être l'un de leurs plus vieux ancêtres. Afin de le préserver et d'en savoir plus, ils décident de ramener ce corps cryogénisé ainsi que celui de Rowan sur leur vaisseau spatial. Jason ne va pas tarder à sortir de son hibernation...
Start spreadin' the news... Jason Voorhees, the cleaver-hoisting man in the hockey mask, has finally left Crystal Lake behind and taken his vagabond shoes to the Big Apple. Actually, Jason spends most of his time on a cruise ship bound for Manhattan, carving up the unluckiest high school graduation party ever. You'd think the change of scenery might breathe new life, or death, into the series, but chapter 8 is standard stalk 'em and slash 'em fare, albeit with a nautical slant. The title hints at a comic tone, but except for the one-joke idea that Jason fits right into the menacing urban scene, forget it. (The comedy would wait until the surprisingly entertaining Jason X.) This one does have a pretty leading lady, Jensen Daggett, whose visions of the young drowned Jason are occasionally creepy. The grown-up Jason, like these little-town blues, is melting away.